Le développeur de projets houlogénérateurs en Polynésie française

S’appuyer sur la force des vagues
pour créer de l’électricité locale, décarbonée,
dimensionnée au besoin du territoire et génératrice d’emplois
pour tous les archipels polynésiens.

De l'électricité décarbonée pour le bien des populations

Un besoin d'autonomie et de résilience énergétique sur le territoire

76 îles habitées sur une large superficie
Gérées par un seul régulateur du secteur électrique
64 % de l'électricité utilisée provient d’énergies fossiles importées
L’acheminement de pétrole se fait par bateau engendrant de nouveau du CO₂ et des pollutions
Le coût de l'électricité est considérable pour le Pays
Le potentiel houlogénérateur est immense

L’énergie des vagues pourrait offrir une nouvelle perspective dans la transition énergétique en stabilisant les coûts et en améliorant la résilience.

L’assurance que les générations futures puissent continuer à vivre ensemble et dans de bonnes conditions.

La houle comme ressource inépuisable

Les dispositifs houlogénérateurs permettent d’exploiter la puissance de la houle (onde créée par le vent qui se propage dans l’océan) afin de produire de l’électricité 100 % décarbonée.

Nous privilégions des systèmes de petite taille, pas ou peu visibles depuis les côtes et adaptés à la demande locale en énergie des communautés.

0 %

des besoins électriques de
la Polynésie française couverts en 2030

+ 0

îles étudiées sur l’ensemble
des archipels polynésiens

0 GWh

produit chaque année à partir de 2030

Co-construire les projets avec les acteurs du territoire

Are Uira développe des projets houlogénérateurs sur le Fenua avec et pour le bien de nos communautés.

Nous nous appuyons sur les forces vives des locaux de chaque site identifié pour que chacun puisse y exprimer son savoir-faire, son amour pour l’océan et ses valeurs traditionnelles de partage et de bienveillance.

La mise en place de ces projets passe par l’implication de l’ensemble des acteurs et parties prenantes du territoire : notre population (notre nuna’a), nos collectivités, nos entreprises locales, nos coopératives, nos pêcheurs, nos comités de gestion, nos universitaires/ scientifiques, et nos associations.